C'est marrant que tu lances ce sujet, Céline. Chez nous, un truc tout bête qui a pas mal calmé les tensions, c'est d'instaurer des "missions spéciales" pour chacun des enfants. Des petites responsabilités, tu vois ? Genre, l'un s'occupe de mettre le couvert, l'autre de sortir le pain... Ça leur donne l'impression d'être importants et utiles. Et bizarrement, ça diminue les chamailleries. Essaye, tu me diras si ça marche aussi chez toi !
L'idée des missions spéciales, c'est pas mal du tout ! Faut que j'essaye ça à la maison, parce que les batailles pour savoir qui fait quoi, c'est un sport national chez nous...
Sinon, un truc qui marche bien (enfin, la plupart du temps), c'est le "conseil de famille" hebdomadaire. On se pose tous ensemble, on fait le point sur ce qui va, ce qui ne va pas, et on essaie de trouver des solutions ensemble. Ça permet à chacun de s'exprimer et de se sentir écouté. Bon, parfois ça part en cacahuète, hein, faut pas se leurrer. Mais globalement, ça aide à désamorcer pas mal de conflits. Le plus dur, c'est de trouver un moment où tout le monde est dispo et motivé. Souvent, c'est le dimanche après-midi, mais faut pas que ça empiète sur le match de foot du petit dernier, sinon c'est la catastrophe.
Et puis, un truc tout con, mais qui fait une différence énorme, c'est de passer du temps de qualité ensemble, sans écrans. Une balade en forêt, un jeu de société, une soirée pyjama avec des pop-corns et un bon film... Des moments simples, mais qui permettent de se reconnecter et de se créer des souvenirs. Parce que finalement, c'est ça qui compte, non ? Cliquez ici ça me fait penser qu'il faudrait que je me documente plus sur les différentes approches éducatives. J'ai l'impression qu'on est souvent pris dans le tourbillon du quotidien, et qu'on oublie de se poser les bonnes questions. Genre, est-ce qu'on est vraiment à l'écoute de nos enfants ? Est-ce qu'on leur donne suffisamment d'autonomie ? Est-ce qu'on les encourage à développer leur créativité ? Pas facile d'être un bon parent, hein... Mais c'est un défi passionnant !
Le coup du conseil de famille, je suis pas certain que ce soit une panacée. Sur le papier, c'est sûrement une bonne idée, mais en pratique, j'imagine que ça doit vite virer au pugilat si on n'est pas hyper vigilant. Et puis, faut vraiment que les enfants soient coopératifs, sinon, c'est mort né. Enfin, c'est mon avis... Je suis peut-être un peu pessimiste, mais avec mon boulot, j'ai tendance à voir le verre à moitié vide.
Jojoba, je comprends ton point de vue. C'est vrai que le "conseil de famille" peut vite tourner au vinaigre si on n'y prend pas garde. C'est un peu comme essayer de faire tenir debout une pile d'assiettes bancales, ça demande de l'équilibre et pas mal de patience.
Mais je pense qu'il y a des façons de rendre ça plus gérable. Par exemple, on pourrait limiter le temps de parole de chacun, fixer un ordre du jour clair à l'avance et surtout, insister sur le respect de la parole de l'autre. Si on part du principe que chacun a le droit de s'exprimer sans être interrompu ou jugé, ça peut aider à créer un climat plus serein. En tant que brancardier, j'ai souvent vu des situations tendues se calmer juste en donnant à chacun l'occasion de dire ce qu'il avait sur le cœur, sans agressivité. L'écoute active, ça marche aussi en famille.
Et puis, faut pas hésiter à adapter la formule à l'âge des enfants. Avec des ados, ça peut être plus pertinent de leur proposer un moment d'échange plus informel, autour d'un repas par exemple. L'important, c'est de créer un espace où ils se sentent libres de parler de leurs problèmes, sans avoir l'impression d'être jugés ou infantilisés. S'ils ont l'impression qu'on les prend au sérieux, ils seront plus enclins à coopérer.
L'implication des enfants dans les tâches (comme le mentionne les données) est un autre aspect. Si on leur donne des responsabilités adaptées à leur âge, ça peut renforcer leur sentiment d'appartenance et leur estime de soi. C'est pas toujours facile, hein, ça demande de la patience et de la pédagogie. Mais à long terme, ça peut vraiment aider à créer une ambiance familiale plus harmonieuse, surtout si on instaure des moments privilégiés. On se sent bien mieux quand on partage, je trouve.
Ciel d'Aube2, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'écoute active. En tant qu'infirmier, j'ai souvent constaté que beaucoup de conflits (pas qu'en famille, hein) viennent d'un manque de communication et d'une incapacité à vraiment entendre ce que l'autre a à dire. C'est fou comme juste reformuler ce que quelqu'un dit peut désamorcer une situation tendue.
Et pour les ados, l'idée d'un moment d'échange informel, c'est une excellente suggestion. Forcer la discussion, c'est souvent contre-productif. Mieux vaut créer un contexte favorable et laisser les choses venir naturellement.
Escaladier, tu touches un point sensible. L'écoute, c'est la base, mais parfois, on dirait que c'est la chose la plus dure à mettre en œuvre. On est tellement pris dans nos propres certitudes qu'on en oublie d'entendre ce que l'autre a vraiment à dire. Et avec les ados, c'est encore plus vrai.
Pour illustrer ça, j'ai trouvé cette vidéo qui parle justement des pièges à éviter dans la communication avec les ados. Ça donne des pistes intéressantes pour essayer de mieux les comprendre et de désamorcer les conflits :
C'est fou comme parfois, un simple changement de perspective peut tout changer.
Super cette vidéo, Mysterio ! Effectivement, ça donne matière à réflexion. On se croit parfois écoutant, mais on est juste en train d'attendre notre tour pour parler. Dur dur de changer ses habitudes parfois...
Ciel d'Aube2, je suis d'accord sur le principe, mais bon, une vidéo, aussi bien faite soit-elle, ça reste de la théorie. La vraie vie, avec les cris, les pleurs et les portes qui claquent, c'est une autre paire de manches. Faut pas croire que quelques astuces suffisent à régler des problèmes de fond. Parfois, faut juste accepter que les conflits font partie de la vie et qu'on ne peut pas tout contrôler.
Si je reprends, on a exploré plusieurs pistes pour améliorer la vie de famille : les "missions spéciales" pour les enfants, les conseils de famille (même si Jojoba émet des réserves), l'importance des moments de qualité sans écrans, et surtout, l'écoute active, illustrée par la vidéo partagée par Mysterio. Escaladier nous rappelle que la théorie ne fait pas tout, et que les conflits sont inévitables. En résumé, des outils concrets et un rappel de l'importance de la communication, avec ses limites.
Puisque l'on parle de communication, je me demandais si certains d'entre vous ont déjà essayé des ateliers de communication non-violente en famille ? J'en ai entendu parler, et il paraît que ça peut aider à mieux exprimer ses besoins et ses émotions, tout en respectant ceux des autres. C'est peut-être une piste à explorer, surtout si les conflits sont récurrents. Bon, après, faut trouver un bon intervenant, et que tout le monde soit motivé, hein. Mais si ça peut aider à créer un climat plus apaisé à la maison, ça vaut peut-être le coup d'essayer.
le 28 Juin 2025
C'est marrant que tu lances ce sujet, Céline. Chez nous, un truc tout bête qui a pas mal calmé les tensions, c'est d'instaurer des "missions spéciales" pour chacun des enfants. Des petites responsabilités, tu vois ? Genre, l'un s'occupe de mettre le couvert, l'autre de sortir le pain... Ça leur donne l'impression d'être importants et utiles. Et bizarrement, ça diminue les chamailleries. Essaye, tu me diras si ça marche aussi chez toi !
le 29 Juin 2025
L'idée des missions spéciales, c'est pas mal du tout ! Faut que j'essaye ça à la maison, parce que les batailles pour savoir qui fait quoi, c'est un sport national chez nous... Sinon, un truc qui marche bien (enfin, la plupart du temps), c'est le "conseil de famille" hebdomadaire. On se pose tous ensemble, on fait le point sur ce qui va, ce qui ne va pas, et on essaie de trouver des solutions ensemble. Ça permet à chacun de s'exprimer et de se sentir écouté. Bon, parfois ça part en cacahuète, hein, faut pas se leurrer. Mais globalement, ça aide à désamorcer pas mal de conflits. Le plus dur, c'est de trouver un moment où tout le monde est dispo et motivé. Souvent, c'est le dimanche après-midi, mais faut pas que ça empiète sur le match de foot du petit dernier, sinon c'est la catastrophe. Et puis, un truc tout con, mais qui fait une différence énorme, c'est de passer du temps de qualité ensemble, sans écrans. Une balade en forêt, un jeu de société, une soirée pyjama avec des pop-corns et un bon film... Des moments simples, mais qui permettent de se reconnecter et de se créer des souvenirs. Parce que finalement, c'est ça qui compte, non ? Cliquez ici ça me fait penser qu'il faudrait que je me documente plus sur les différentes approches éducatives. J'ai l'impression qu'on est souvent pris dans le tourbillon du quotidien, et qu'on oublie de se poser les bonnes questions. Genre, est-ce qu'on est vraiment à l'écoute de nos enfants ? Est-ce qu'on leur donne suffisamment d'autonomie ? Est-ce qu'on les encourage à développer leur créativité ? Pas facile d'être un bon parent, hein... Mais c'est un défi passionnant !
le 29 Juin 2025
Le coup du conseil de famille, je suis pas certain que ce soit une panacée. Sur le papier, c'est sûrement une bonne idée, mais en pratique, j'imagine que ça doit vite virer au pugilat si on n'est pas hyper vigilant. Et puis, faut vraiment que les enfants soient coopératifs, sinon, c'est mort né. Enfin, c'est mon avis... Je suis peut-être un peu pessimiste, mais avec mon boulot, j'ai tendance à voir le verre à moitié vide.
le 30 Juin 2025
Jojoba, je comprends ton point de vue. C'est vrai que le "conseil de famille" peut vite tourner au vinaigre si on n'y prend pas garde. C'est un peu comme essayer de faire tenir debout une pile d'assiettes bancales, ça demande de l'équilibre et pas mal de patience. Mais je pense qu'il y a des façons de rendre ça plus gérable. Par exemple, on pourrait limiter le temps de parole de chacun, fixer un ordre du jour clair à l'avance et surtout, insister sur le respect de la parole de l'autre. Si on part du principe que chacun a le droit de s'exprimer sans être interrompu ou jugé, ça peut aider à créer un climat plus serein. En tant que brancardier, j'ai souvent vu des situations tendues se calmer juste en donnant à chacun l'occasion de dire ce qu'il avait sur le cœur, sans agressivité. L'écoute active, ça marche aussi en famille. Et puis, faut pas hésiter à adapter la formule à l'âge des enfants. Avec des ados, ça peut être plus pertinent de leur proposer un moment d'échange plus informel, autour d'un repas par exemple. L'important, c'est de créer un espace où ils se sentent libres de parler de leurs problèmes, sans avoir l'impression d'être jugés ou infantilisés. S'ils ont l'impression qu'on les prend au sérieux, ils seront plus enclins à coopérer. L'implication des enfants dans les tâches (comme le mentionne les données) est un autre aspect. Si on leur donne des responsabilités adaptées à leur âge, ça peut renforcer leur sentiment d'appartenance et leur estime de soi. C'est pas toujours facile, hein, ça demande de la patience et de la pédagogie. Mais à long terme, ça peut vraiment aider à créer une ambiance familiale plus harmonieuse, surtout si on instaure des moments privilégiés. On se sent bien mieux quand on partage, je trouve.
le 30 Juin 2025
Ciel d'Aube2, je suis d'accord avec toi sur l'importance de l'écoute active. En tant qu'infirmier, j'ai souvent constaté que beaucoup de conflits (pas qu'en famille, hein) viennent d'un manque de communication et d'une incapacité à vraiment entendre ce que l'autre a à dire. C'est fou comme juste reformuler ce que quelqu'un dit peut désamorcer une situation tendue. Et pour les ados, l'idée d'un moment d'échange informel, c'est une excellente suggestion. Forcer la discussion, c'est souvent contre-productif. Mieux vaut créer un contexte favorable et laisser les choses venir naturellement.
le 30 Juin 2025
Escaladier, tu touches un point sensible. L'écoute, c'est la base, mais parfois, on dirait que c'est la chose la plus dure à mettre en œuvre. On est tellement pris dans nos propres certitudes qu'on en oublie d'entendre ce que l'autre a vraiment à dire. Et avec les ados, c'est encore plus vrai. Pour illustrer ça, j'ai trouvé cette vidéo qui parle justement des pièges à éviter dans la communication avec les ados. Ça donne des pistes intéressantes pour essayer de mieux les comprendre et de désamorcer les conflits :
C'est fou comme parfois, un simple changement de perspective peut tout changer.
le 30 Juin 2025
Super cette vidéo, Mysterio ! Effectivement, ça donne matière à réflexion. On se croit parfois écoutant, mais on est juste en train d'attendre notre tour pour parler. Dur dur de changer ses habitudes parfois...
le 30 Juin 2025
Ciel d'Aube2, je suis d'accord sur le principe, mais bon, une vidéo, aussi bien faite soit-elle, ça reste de la théorie. La vraie vie, avec les cris, les pleurs et les portes qui claquent, c'est une autre paire de manches. Faut pas croire que quelques astuces suffisent à régler des problèmes de fond. Parfois, faut juste accepter que les conflits font partie de la vie et qu'on ne peut pas tout contrôler.
le 30 Juin 2025
Merci pour le partage de la vidéo, c'est toujours bon d'avoir de nouvelles perspectives, même si la pratique est plus ardue.
le 30 Juin 2025
Si je reprends, on a exploré plusieurs pistes pour améliorer la vie de famille : les "missions spéciales" pour les enfants, les conseils de famille (même si Jojoba émet des réserves), l'importance des moments de qualité sans écrans, et surtout, l'écoute active, illustrée par la vidéo partagée par Mysterio. Escaladier nous rappelle que la théorie ne fait pas tout, et que les conflits sont inévitables. En résumé, des outils concrets et un rappel de l'importance de la communication, avec ses limites.
le 30 Juin 2025
Bien vu pour la synthèse.
le 30 Juin 2025
Puisque l'on parle de communication, je me demandais si certains d'entre vous ont déjà essayé des ateliers de communication non-violente en famille ? J'en ai entendu parler, et il paraît que ça peut aider à mieux exprimer ses besoins et ses émotions, tout en respectant ceux des autres. C'est peut-être une piste à explorer, surtout si les conflits sont récurrents. Bon, après, faut trouver un bon intervenant, et que tout le monde soit motivé, hein. Mais si ça peut aider à créer un climat plus apaisé à la maison, ça vaut peut-être le coup d'essayer.